Les aventures de Jonathan Gullible au Burundi
Institute for Economics and Enterprises est heureux de recevoir dans ces locaux des merveilleux cadeaux de la part de Monsieur Glenn Boyer et du Professeur Ken Schoolland. L’Odyssée d’un jeune homme en quête de la liberté, est un livre qui relate l’histoire des peuples d’une société imaginaire. Mais sûrement qui va aider dans la société réelle comme celle du Burundi. Il montre comment est l’interventionnisme étatique, les outils utilisés et son impact économique et sociale sur la vie de la population.
Qu’est que la société Burundaise doit apprendre de ce livre ?
Selon loi No 1/13 du 15 Mai 2020 portant fixation du Budget générale de la république du Burundi, Exercice 2020-2021, Plus de 65% des recettes prévues sont des produits fiscaux. Ce qui montre que au Burundi, la grande partie du budget du gouvernement vient des impôts. Il aidera à la société burundaise de comprendre que la Taxation est un vol. De comprendre que tout ce qui demande la force est contre naturel :
« Naturellement, l’utilisation de la force pour ôter la vie, c’est un meurtre, pour supprimer la liberté, c’est de l’esclavage, et pour prendre la propriété c’est du vol. Cela revient au même si ces actions sont commises par une personne agissant seule, par beaucoup agissant contre quelques-uns, ou même par des fonctionnaires avec de beaux couvre-chefs ou de beaux titres ».
Ce livre, obtenu grâce à la générosité de Monsieur Glenn Boyer et de son auteur Prof Ken, est un livre qui touche tous les aspects de la vision libertarienne : la non-agression, le libre-échange, le droit de propriété, Etat de droit, la libre circulation des personnes, libre marché, l’importance de l’entrepreneuriat et ce qui le tue etc..
Il montre que l’interventionnisme étatique rend riche une minorité des décideurs politique et ses copains et que parfois les armes utilisées pour rester au pouvoir et pour manipuler les gens sont les impôts, la distribution des faveurs via l’attribution des différents permis pour l’exercice d’une activité économique quelconque et l’instauration des services « gratuits », sous l’impulsion de vouloir pour rendre la vie des habitants d’une même société plus « conforme ».
L’Institute for Economics and Enterprises éprouve sa grande reconnaissance approfondie aux personnes qui n’hésitent pas à l’aider dans la construction d’une société africaine libre et plus prospère. Merci à Monsieur Glenn Boyer pour sa gratitude et sa volonté de lutter pour une société libre. Nous lui devons beaucoup de reconnaissance pour les livres qu’il nous a envoyé et son soutien pour notre Institute. Nous ne pouvons pas oublier l’auteur du livre, Professeur Ken Schoolland. Merci à vous aussi. Nous comptons utiliser ces dons dans l’amélioration de la compréhension du système économique basé sur le libre marché, l’état de droit et la propriété privée. Et montrer son importance dans la réduction de la pauvreté en Afrique en général et au Burundi en particulier. Nous allons organiser des séances de discussion sur le contenu du livre. Nous allons écrire des articles et les publier sur notre site Web.
Cependant, le manque de matériaux reste toujours un défi pour l’Institute. Raison pour laquelle nous lacons notre appel vibrant aux différents partenaires potentiels d’adhérer à notre mission afin d’unir nos forces pour continuer à lutter pour une société libre et prospère. L’Institute reste ouvert à toutes collaborations et partenariat et appréciera toute contribution de n’importe quelle nature susceptible de l’aider dans la réalisation de sa mission.
Soulignons qu’à l’Institute for Economics and Enterprises nous rêvons à une Afrique (spécialement francophone) où chaque individu est libre et prospère, nous continuerons à travailler en suivant notre mission qui est de « produire, à travers un apprentissage ciblé, une société basée sur les principes du marché libre, de la propriété privée et de l’état de droit ». Nous y parvenons en créant des programmes éducatifs participatifs et en fournissant les ressources nécessaires à la liberté individuelle et économique, seul moyen pour notre Afrique de prospérer.
Un marché ouvert pour une prospérité équitable
Cette article a été publier pour la première fois sur Liberty internationale en version anglaise
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